****-0Si vous êtes victime d’un accident du travail, vous recevrez une indemnisation pendant votre temps d’arrêt. L’ assurance maladie vous verse des prestations journalières de sécurité sociale
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(IJSS). Le calcul de ces indemnités est basé sur votre salaire de référence. Il est important de noter que vos primes seront prises en compte (plus de détails sur la façon de calculer les IJSS en cas d’accident du travail).
Vous pouvez également bénéficier d’allocations supplémentaires versées par votre employeur . Vous devez respecter certaines conditions. Le montant et la durée du paiement dépendent de votre ancienneté dans l’entreprise (en savoir plus).
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Contrairement à l’insurrection ordinaire, il n’y a pas de délai d’attente pour recevoir des indemnités journalières en cas d’accident du travail (cela vaut également pour une indemnisation supplémentaire). ouvrez vos droits le lendemain de votre accident (plus d’informations ici).
Lors de votre interruption après votre accident du travail, vous aurez une protection spéciale. Votre employeur ne peut rompre votre contrat que sous certaines conditions (plus en détail dans cette partie).
Des informations sur le montant des indemnités journalières pour les accidents du travail, les conditions d’obtention d’un supplément auprès de votre employeur, le délai d’attente et la protection que vous recevrez, peuvent être trouvées dans cet article.
Plan de l'article
Comment l’indemnité journalière est-elle calculée en cas d’accident du travail ?
Note : Les conditions d’indemnisation des travailleurs sont différentes de celles destinées à stopper la maladie (cliquez ici pour les trouver) Voici les règles relatives aux accidents du travail IJSS.
Si vous êtes un employé victime d’un accident du travail qui entraîne une interruption, vous pouvez bénéficier des indemnités journalières versées par l’assurance maladie. Cette indemnité est destinée à compenser partiellement votre perte de salaire. Tout d’abord, il est important de signaler votre accident au travail à temps.
Les indemnités journalières sont calculées par votre CPAM selon le certificat de salaire que votre employeur envoie à l’assurance maladie. La communication de ce certificat fait partie du cadre des procédures d’accident pour votre employeur .
Calcul du nombre d’accidents IJSS discrets
Votre CPAM calcule le montant de la rémunération la rémunération journalière de vos employés basée sur une part de votre salaire brut du mois précédent. À partir de votre 29e arrêt, ce ratio augmentera.
Et vos IJJS sont limités en fonction de votre revenu net quotidien et de la limite monétaire journalière CPAM. Consultez le tableau pour un exemple de calcul de la rémunération de vos employés.
Vous trouverez ci-dessous le calcul de vos indemnités journalières :
Durée du paiement par IJSS | % de l’ISJR* | bénéfice quotidien net | CPAM Couverture IJ |
---|---|---|---|
du 1er au 28ème jour de votre arrêt | 60% | ( Salaire brut du mois précédent — Salaire brut du mois précédent x 21%) /30,42 | 205,84 Euro |
à partir du 29ème jour de votre arrêt | 80% | ( Salaire brut du mois précédent — salaire brut du mois précédent x 21%) /30,42 | 274,46 Euro |
*Salaire journalier de référence : Le montant de votre salaire brut pour le mois précédent/ 30.42. Les déductions au titre du CSG (6,2 %) et le CRDS (0,50 %) seront alors déduites de votre allocation journalière.
Vos indemnités journalières liées à votre accident du travail sont assujetties à un impôt sur le revenu de 50 % de son montant. À compter du 1er janvier 2019, votre impôt sur le revenu sera facturé directement à votre YI à la source. L’ administration fiscale enverra le tarif en fonction de votre situation. devrait être appliquée à la compagnie d’assurance maladie. Notez que le même calcul de l’IJSS s’applique à un accident du pendule pour se rendre au travail.
Prenons un exemple de calcul. Votre salaire brut le mois précédant votre accident du travail est de 2 100€.
Votre croissance journalière nette pendant votre temps d’arrêt est de :/30.42 = €54,54
Le montant de la rémunération de vos employés est calculé comme suit :
- Pour les 28 premiers jours d’interruption : Paie journalière de référence (SJR) x 60% = (2,100/30,42) x 60% = 41,42 Euro
- A partir du 29ème jour d’arrêt : Salaire journalier de référence (SJR) x 80% = (2,100/30,42) x 80% = 55,23 euros. Ce montant dépasse votre revenu journalier net calculé ci-dessus. Votre indemnité journalière est donc limitée à 54,54€.
Si le Si la période de rémunération de vos employés est supérieure à 3 mois , vous pouvez bénéficier d’une appréciation de vos indemnités journalières en cas d’augmentation générale des salaires :
- Soit dans le cadre de la convention collective de votre emploi : vous devez demander à votre CPAM par la poste l’application de la réévaluation, qui est incluse dans la convention collective de votre emploi en joignant un certificat de votre employeur.
- Soit par décision ministérielle : la modernisation s’effectue sur une base forfaitaire. Vos indemnités journalières peuvent alors être augmentées de 1%.
Est-ce qu’on perd des primes en cas d’accident du travail ?
Non, vos récompenses sont incluses dans votre salaire de référence. Ce salaire de référence pour le calcul de la rémunération des employés doit correspondre à l’indemnité que vous avez si vous aviez travaillé.
Le contenu de référence comprend donc :
- Votre salaire de base
- Vos récompenses mensuelles
- Prix de vos récompenses annuelles (exemple : 13e mois) ou semestrielles
Si vous recevez une rémunération variable, le salaire de référence peut être votre dernier salaire ou votre salaire moyen sur une certaine période (trimestre, semestre…).
Les dépenses professionnelles, telles que la prime du panier alimentaire ou les frais de transport de l’employeur, sont logiquement ignorées, car elles sont liées à l’exécution réelle du travail.
Accident du travail et salaire : Une surtaxe peut-elle être acceptée ?
Si vous êtes un employé et victime d’un sont un accident du travail, vous pouvez recevoir des prestations supplémentaires versées par votre employeur pour maintenir un salaire total ou partiel.
Le montant et la durée de ces prestations dépendent de votre ancienneté dans l’entreprise . Et votre convention collective peut vous offrir des avantages qui dépassent ceux du cadre juridique.
Les conditions pour bénéficier de votre salaire en cas d’accident du travail
Pour recevoir des prestations supplémentaires de l’employeur en cas d’accident du travail , vous devez remplir toutes les conditions suivantes :
- Avoir au moins un an de service dans votre entreprise. Votre ancienneté est calculée à partir de votre premier jour d’absence.
- Vous n’avez aucun de ces Statut : Travailleurs à domicile, travailleurs saisonniers, intermittents ou temporaires
- Vous avez reçu votre certificat médical dans les 48 heures
- Bénéficiez des indemnités journalières payées par votre CPAM
- L’ Espace économique européen est traité en France ou dans l’un des États membres.
En cas de paiement d’indemnités supplémentaires, votre employeur a le droit de demander une visite médicale de retour.
Montant et durée du maintien du salaire en cas d’accident du travail
Le Code du travail prévoit le montant et la durée de l’indemnité supplémentaire en fonction de l’ancienneté de l’employé. Plus vous avez une ancienneté, plus la durée maximale de votre rémunération est longue.
Et vous bénéficiez également d’une meilleure Assistance ( % de votre salaire brut) pendant la durée de votre interruption. Votre employeur déduit les indemnités journalières brutes payées par votre CPAM.
Durée et montant de votre indemnité supplémentaire pour le cadre juridique
:
durée de service dans l’entreprise | Durée maximale de votre indemnisation | Montant ( % de votre salaire brut) |
---|---|---|
1 à 5 ans | 60 jours | 30 jours à 90% 30 jours à 66,66% |
de 6 à 10 ans | 80 jours | 40 jours à 90% 40 jours à 66,66% |
11 à 15 ans | 100 jours | 50 jours à 90% 50 jours à 66,66% |
16 à 20 ans | 120 jours | 60 jours à 90% 60 jours à 66,66% |
de 21 à 25 ans | 140 jours | 70 jours à 90% 70 66,66% jours |
26 à 30 ans | 160 jours | 80 jours à 90% 80 jours à 66,66% |
31 ans et | 180 jours | 90 jours à 90% 90 jours à 66,66% |
Pendant une période de 12 mois , vous ne serez pas en mesure d’accumuler des jours de rémunération qui dépassent la période maximale de rémunération déterminée en fonction de votre ancienneté. Par conséquent, si vous êtes victime de deux accidents du travail en moins 12, la période maximale d’indemnisation n’est pas alimentée. Elle correspond à celle indiquée dans le tableau ci-dessous, en fonction de votre ancienneté dans l’entreprise
Par exemple, vous êtes victime d’un accident du travail le 2 mars. Votre salaire brut est de 2 100 euros et votre ancienneté est de 4 ans. Votre médecin vous prescrira un arrêt de 30 jours.
Calcul des indemnités salaires reçus à la suite de votre accident du travail :
- Indemnités journalières versées par la CPAM du 1er au 28e jour : 41,42€ (voir calcul dans l’exemple de la partie 1). Dans le cadre d’une panne, les jours d’absence sont généralement
- appliqué Indemnités journalières payées par la CPAM les 29e et 30ème jours : 54,54€
- Crédit journalier brut total : 28 jours x 41,42€ 2 jours x 54,54€ = 1 268,84€
- Rémunération supplémentaire versée par votre employeur : Montant de la rémunération — IJSS brute = (90 % x 2 100 euros) — 1268,84 euros = 62,16 euros
Vous recevrez donc 1 890 euros bruts ou 1 268,84 euros d’indemnités journalières et 621,16 euros de rémunération supplémentaire versée par votre employeur.
La durée et le montant des paiements pour une indemnisation supplémentaire correspondent à ceux du cadre juridique du Code du travail. Les conventions collectives prévoient des conditions plus favorables pour une indemnisation supplémentaire pour les périodes d’absence du travail après un accident du travail.
Ces conditions peuvent être trouvées dans ces Points moins chers :
- durée de service requise
- Durée de la conservation du salaire
- Montant de maintien du salaire
L’employeur doit appliquer la disposition la plus favorable (convention collective ou cadre juridique) pour le salarié en fonction de sa situation . Il est également possible de modifier le cadre si, par exemple, le cadre juridique devient plus favorable si le travail est prolongé.
Il est à noter que votre convention collective peut prévoir le maintien du salaire net et non du salaire brut. Cela peut être particulièrement le cas si votre convention collective prévoit un maintien salarial de 100 %. Dans ce cas, si le salaire de référence était brut, vous pourriez obtenir une rémunération nette plus élevée que dans votre travail. Cela est dû au fait que les indemnités journalières payées par Kill Insurance ne sont pas soumis à des cotisations de sécurité sociale.
En cas de maintien du salaire total ou partiel en cas d’accident du travail, votre employeur peut demander à votre CPAM de percevoir votre LJJS. Le montant du salaire versé doit être au moins égal au montant de vos indemnités journalières. Ce périphérique est appelé subrogation.
Y a-t-il un jour de pénurie après un accident du travail ?
indemnités journalières (IJSS) et les indemnités supplémentaires sont versées le lendemain du jour de l’accident. En cas d’accident du travail, il n’y a pas de temps d’attente. Pas de temps d’attente Les
Les indemnités journalières sont payées par votre CPAM tous les 14 jours pour la durée de votre travail, jusqu’à votre date de consolidation ou de recouvrement. Pour plus d’informations sur le Date de paiement de votre LJJS veuillez contacter votre CPAM.
Rappel : En cas d’arrestation de la maladie (et non en cas d’accident du travail), le délai d’attente pour les indemnités journalières est de 3 jours et le délai d’attente pour les prestations supplémentaires est de 7 jours.
Une violation du contrat de travail est-elle protégée dans le cas d’une AT ?
En tant qu’employé victime d’un accident du travail, vous bénéficierez d’une protection spéciale pendant la période de votre absence du travail et à la fin Vous êtes protégé contre la rupture de contrat .
Votre contrat est suspendu. Votre employeur n’a pas le droit de vous congédier pendant cette période.
Il y a deux exceptions à cette interdiction de rompre votre contrat de travail :
- si vous avez un Maux commis
- Si votre employeur n’est pas en mesure de maintenir votre contrat (cessation d’activité, résiliation commerciale…). La raison doit demeurer sans rapport avec l’accident du travail.
Si vous avez un contrat à durée déterminéee : La suspension de votre contrat n’exclut pas la durée du contrat. Toutefois, si une clause de prolongation est incluse dans votre contrat, votre employeur devra justifier le non-renouvellement de votre contrat pour une raison sérieuse et réelle qui n’est pas liée à un accident du travail. Si ce n’est pas le cas, votre employeur devra vous verser une indemnité en cas de non-renouvellement.
Votre accident du travail peut entraîner une violation de votre contrat de travail si vous vous trouvez inapproprié avoir les médecins du travail.
En cas d’incapacité de travail, votre employeur peut vous congédier pour l’une des trois raisons suivantes :
- Votre employeur ne peut pas vous offrir un autre emploi en vertu de l’obligation de reclassification
- Vous rejetez la tâche proposée dans le cadre de la reclassification
- Le médecin du travail donne un avis que votre état de santé ne permet pas la reclassification dans un lieu de travail
Dans ce cas, votre employeur a le droit de vous congédier en vous versant une indemnité (indemnité de départ spéciale et indemnités).
Après l’incapacité du médecin du travail, vous pouvez bénéficier des allocations suivantes sous certaines conditions :
- Allocation d’invalidité temporaire (ITI) : lire la suite
- Une allocation incapacité permanente de travail : plus d’informations ici
- Une prestation de resurse tierce partie (RPRP) : Pour en savoir plus, consultez cette page
Crédit photo : © momius et Auremar/Fotolia
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