La répartition des aides au logement entre les anciens conjoints sera clarifiée sous peu. Selon Capital, un décret est en cours d’élaboration par le gouvernement, qui devrait être créé d’ici 2021. « Il s’agit d’une question d’égalité entre les bénéficiaires », déclare le ministère du Logement dans le magazine. Cela s’inscrit dans le cadre de la réforme de l’aide personnalisée au logement (APL), qui entrera en vigueur le 1er janvier de l’année prochaine. Le texte est toujours en cours d’élaboration et, selon le Ministère, se révèle « très technique », selon lequel « il ne s’agit pas d’économies dans le paiement des subventions au logement ». En effet, la répartition des APP suscite certaines inquiétudes lorsque les règles sont les mêmes que pour les autres allocations familiales.
Pour lire Logement : Après plusieurs changements, la réforme de l’APL entrera en vigueur le 1er janvier 2021 Les APL doivent être en
théorie Selon un rapport du Haut Le Conseil de la famille, de l’enfance et de la vieillesse réduirait alors la LPA au détriment du parent bénéficiaire. La HFEA recommande que « le poids attribué à l’enfant puisse dépendre de l’adéquation plus ou moins importante des dépenses couvertes par le bénéfice de la durée du séjour et/ou de la situation des parents par rapport au risque de pauvreté ». Aujourd’hui, un seul parent peut déclarer la garde de l’enfant et bénéficier des LPA, bien que l’aide doive théoriquement être partagée entre les deux parents, rappelle Capital. Les parents doivent même désigner eux-mêmes le bénéficiaire conformément à un règlement de juillet 2019.
A lire aussi : Les stratégies efficaces pour stimuler la passion de la lecture chez les enfants
Pour lire En cas de divorce, il n’est pas punissable de cacher une partie de sa fortune au juge Depuis une décision du Conseil d’État en 2017, l’allocation de logement a déjà dû être partagée entre les deux parents. Pour le moment, selon la Caisse national des affaires familiales (CNAF). « Jusqu’à la publication du décret d’application, le principe du partage de la charge consacré par la loi restera inopérable », explique le CNAF au magazine. Le partage est donc impossible même si les parents sont d’accord entre eux.
A découvrir également : MAÎTRE HENRI VIGUIER : Avocat pour votre divorce en France